Secteur de tutelle : Field Office
Lieu d’affectation: Abidjan
Catégorie d’emplois: Éducation
Type de contrat : Personnel non permanent
Grade : Level 2
Durée du contrat : 1 année
Recrutement ouvert à : Candidats externes
Clôture des candidatures (minuit heure de Paris) : 22.09.2023
Valeurs fondamentales de l’UNESCO : Engagement envers l’Organisation, intégrité, respect de la diversité, professionnalisme
La coalition mondiale pour l’éducation (GEC) de l’UNESCO a été créée en mars 2020 alors que la pandémie de COVID-19 entraînait la fermeture des établissements scolaires à travers le monde, amplifiant encore les inégalités existantes dans le domaine de l’éducation. Réunissant des partenaires issus de différents secteurs, la Coalition a entrepris d’atténuer ces perturbations en mobilisant les soutiens et en coordonnant les réponses locales, nationales, régionales et mondiales pour assurer la continuité pédagogique. Composée de membres du secteur privé, d’institutions multilatérales, d’organisations non gouvernementales, d’acteurs de la société civile, de réseaux et d’agences, ainsi que de groupes de médias internationaux, la Coalition compte maintenant plus de 200 membres qui apportent leur concours à ses quatre missions de grande envergure :
Les trois principaux objectifs de la réalisation, de l’extension et de la durabilité du GEC sont :
En vue de contribuer à la réalisation de ces objectifs, l’UNESCO, à travers des fonds fournis par l’Etat d’Azerbaïdjan s’est fixé un objectif sur 2 ans d’appuyer le développement de projets GSA pour contribuer au renforcement des capacités des jeunes dans 7 pays d’Afrique (Côte d’Ivoire, Ghana, Liberia, Nigeria, Sénégal, Sierra leone et Gambie). Un premier projet GSA a été identifié en Côte d’Ivoire pour contribuer à l’employabilité des jeunes en renforçant leurs compétences en entrepreneuriat et marketing digital. Par ailleurs, le projet BEAR III (Une meilleure Éducation pour l’essor de l’Afrique ; 2023 – 2027), mis en œuvre dans 4 pays ouest africains (Côte d’Ivoire, Ghana, Nigeria et Sierra Leone), contribue aux efforts mondiaux visant à mettre en œuvre l’Agenda Éducation 2030, la Stratégie continentale d’éducation pour l’Afrique (CESA, 2016-2025) et la Stratégie de l’UNESCO pour l’EFTP (2022-2029) visant à « Transformer l’EFTP pour des transitions réussies et justes ». Le projet s’appuie sur les plans et priorités de développement nationaux et régionaux de chaque pays participant et sur le travail de l’UNESCO dans la région. L’objectif global du projet BEAR est de donner aux jeunes des pays africains bénéficiaires une meilleure chance d’accéder à un emploi décent et/ou de générer de l’auto-emploi. Il vise plus spécifiquement à améliorer les systèmes nationaux d’EFTP en se concentrant sur trois domaines d’action clés :
Concernant la Côte d’Ivoire, le secteur de la mode et du beau a été choisi et le document de formulation du projet est en cours d’élaboration. 4 établissements publics rattachés au METFPA proposent les filières de ce secteur. 3 de ces établissements (Agboville, Bouaké et Port-Bouët) sont proposés pour être le périmètre de mise en œuvre du pilote du projet GSA précisé ci-dessus d’octobre 2023 à juillet 2024.
Sous l’autorité du Chef de Bureau et Représentant et la supervision directe du Coordinateur du projet BEAR III, l’assistant/e de projet aura pour tâches de :
Education
Etre titulaire d’un Bac + 2 minimum en Education, gestion, sciences, développement ou dans des domaines connexes.
Expérience professionnelle
Au moins un an d’expérience professionnelle dans le domaine de l’éducation, de préférence liée à l’ETFP ou à un poste similaire
Aptitudes/Compétences
Langues
Excellente maîtrise du français (lecture, écriture, expression orale et compréhension)
Très bonne connaissance de l’anglais (lecture, écriture, expression orale et compréhension)
Veuillez noter que tous les candidats doivent remplir une demande en ligne et fournir des informations complètes et exactes. Pour postuler, veuillez visiter le site Web de l’UNESCO carrières. Aucune modification ne peut être apportée à la candidature soumise.
L’évaluation des candidats est basée sur les critères de l’avis de vacance de poste et peut inclure des tests et/ou des évaluations, ainsi qu’un entretien basé sur les compétences.
L’UNESCO utilise des technologies de communication telles que la vidéo ou la téléconférence, la correspondance par e-mail, etc. pour l’évaluation des candidats.
Veuillez noter que seuls les candidats sélectionnés seront contactés et que les candidats à l’étape de sélection finale seront soumis à une vérification des références sur la base des informations fournies.
L’UNESCO rappelle que la considération dominante dans le recrutement du personnel doit être la nécessité d’assurer à l’Organisation les services de personnes possédant les plus hautes qualités de travail, de compétence et d’intégrité. L’UNESCO applique une politique de tolérance zéro à l’égard de toute forme de harcèlement. L’UNESCO s’est engagée à atteindre et à maintenir une répartition géographique équitable et diversifiée, ainsi que la parité des genres parmi les membres de son personnel dans toutes les catégories et à tous les niveaux. En outre, l’UNESCO est résolue à atteindre une diversité de personnel sur le plan du genre, de la nationalité et de la culture. Les candidatures de ressortissants d’États membres non et sous-représentés (veuillez cliquer ici pour la dernière mise à jour) sont particulièrement bienvenues et vivement encouragées. Les personnes issues de groupes minoritaires et de groupes autochtones, ainsi que les personnes handicapées, sont également encouragées à postuler. Toutes les candidatures seront traitées avec la plus grande confidentialité. Une mobilité mondiale est requise pour les membres du personnel nommés sur des postes internationaux.
L’UNESCO ne prend de frais à aucune étape du recrutement.